ApocalypsiA

Donc là je vais vous mettre le scénar du jeu dont je vous parle depuis désormais 10 mois (ouh, ça commence à faire longtemps, dis-donc).



Vous créez votre personnage (gars/fille, nom, et quelques petites bricoles en plus pas super importantes). Bon, on va faire comme si le personnage était un homme nommé Tyron (nom donné à la base pour les persos masculins, pour les filles c'est Nynaeve (les lecteurs de La Roue du Temps, ça vous dit rien ?)).

Tyron, jeune humain d'environ 16-18 ans passe sa vie à chercher des trésors.
Pour une raison qui lui est inconnue, il possède des sortes de marques noires sur chaque épaule. Sur l'épaule droite, un D dans un carré, lui même dans un cercle, et sur l'épaule gauche, un D inversé dans un cercle lui même dans un carré.
Il souffre souvent d'amnésie et n'a aucun souvenir de ses parents, qui ont été en réalité massacrés.

Il a toujours vécu dehors, en tant qu'aventurier. Se demandant pourquoi il a ces symboles et pourquoi il n'a pas ses parents. Pour Il passe donc son temps à errer dans les villes et les campagnes, à la recherche de trésors et de quêtes afin de gagner de l'argent.

Un beau jour, sa marche sans direction précise l'amène dans une des régions les plus pauvres d'Erredan (Erredan est le nom du royaume, l'équivalent de la France). Cette région l'a attiré. Enfin non, pas cette région, mais quelque chose d'autre. Quoi ? Il n'en sait rien. En tout cas, il suit son instinct, qui va le mener à la Forêt de l'Ombre, lieu hautement réputé dans tout l'Erredan car il serait habité par le démon Diable en personne. Mais cette chose qui l'attire, cet appel, va sans doute mener le désastre dans la région, en fonction des choix qu'il effectuera.
La mort va-t-elle s'emparer de Tyron ?

PNJ-

Dunkel-
Cette homme vêtu d'un manteau capuchonné noir est très étrange. En tout cas, il veut aider Tyron, mais à quoi ?

Firièn-
Cet elfe à la peau sombre considère les humains et autres Peuples Libres comme des esclaves. Il s'intéresse étrangement au héros.

Je ferais la suite plus tard, je dois partir là.